A 32 ans, Paul a déjà le crâne dégarni. Il a choisi de se faire greffer des cheveux sur les parties de son crâne en jachère. Voici son parcours pour recouvrer sa chevelure d'antan.
L'envie de retrouver un crâne plus chevelu
Cela fait cinq ans que le crâne de Paul présente des signes de calvitie, essentiellement au dessus du front et sur les golfes. Cela ne manque pas de faire rire son père qui, pour sa part, a fait le deuil de ses cheveux depuis longtemps. Alors, quand Paul a lu dans un magazine féminin que la microgreffe de cheveux était une des interventions les plus en vogue actuellement pour retrouver un crâne chevelu, il a contacté le cabinet de dermatologie de Valenciennes. Le rendez-vous est pris pour une consultation dans un mois.
La consultation chez le dermatologue
Le dermatologue que Paul a choisi de consulter est habitué à pratiquer des microgreffes de cheveux. Il met de suite Paul à l'aise en lui expliquant clairement et simplement comment se déroule une microgreffe. Il pose également beaucoup de questions à Paul : « Pourquoi souhaitez-vous recevoir une microgreffe de cheveux ? Depuis quand constatez-vous la perte de vos cheveux ? Et du côté de vos parents, y a-t-il des problèmes d'alopécie ? Etes-vous allergique à certains médicaments ? » autant de questions pour comprendre la motivation de Paul et s'assurer qu'il peut recevoir la greffe. Le médecin examine également ses cheveux et leurs implantations pour définir le temps nécessaire à l'intervention. A la fin de la consultation, Paul est ravi (et rassuré). Le dermatologue a répondu à toutes ses questions. Et, même s'il est convaincu de se lancer et de faire cette microgreffe, le praticien lui demande de prendre le temps de la réflexion et de revenir… mais pas avant quinze jours.
La microgreffe de cheveux
Paul est confortablement installé sur son siège. Pas vraiment stressé, il est surtout pressé de ressortir avec sa nouvelle chevelure. Mais il sait qu'il devra patienter encore quatre heures avant de voir le résultat. Le dermatologue fait une première piqûre qui lui anesthésie la partie arrière du crâne. Il prélève alors une bandelette de cuir chevelu. Cela laissera à Paul une petite cicatrice qui ne sera pas visible puisque d'autres cheveux viendront la cacher. Le médecin découpe alors la bandelette en d'infimes greffons de quelques cheveux (tout au plus quatre cheveux par greffons). Il implante ensuite les greffons un par un sur le crâne. Paul ne ressent aucune douleur. Quand le médecin fini, il montre le résultat à Paul. « C'est génial ! » s'exclame-t-il. Avant de poursuivre : « Je n'imaginais pas que j'aurais si vite autant de cheveux ! » Mais il faudra pour Paul patienter encore quelques mois pour avoir un résultat définitif. En effet, lorsque les cheveux greffés tomberont, il ne repousseront pas tous au même rythme. C'est aussi sur ce point que l'on se rend compte qu'il s'agit de "vrais cheveux" . Le praticien demande à Paul de revenir dans quinze jours pour surveiller la greffe et la cicatrice. Contrôle de routine ! Ils se verront aussi dans deux ou trois mois, puis une dernière fois après une dizaine de mois pour faire la fameuse photo : avant / après.
Si, comme Paul, vous souhaitez vous renseigner sur la microgreffe à Lille, Valenciennes, Douai, Cambrai ou encore Tournai, contactez l'un des HCED du Nord. Site internet : http://hcdemicrogreffes.com