Le bon ouvrier est celui qui a les bons outils ; il en va à l’identique aussi bien pour le bricoleur du dimanche que pour l’artisan émérite. Quand il s’agit d’agir pour modifier la physionomie de sa demeure, autant le faire dans les règles de l’art, qu’on s’y connaisse ou pas le moins du monde. Mais pour y parvenir, il faut savoir mettre les petits plats dans les grands et se donner les moyens de ses ambitions.
Cela passe inévitablement par l’acquisition d’une boîte à outils fournie, dans laquelle il n’y a qu’à piocher en cas de besoin. C’est loin d’être un investissement inutile, car celle-ci accompagnera son propriétaire à vie dans la majorité des cas, s’enrichissant au fil des années de ce qui se fait de mieux pour travailler dans le bâtiment. C’est une démarche progressive, presque sans fin comme aiment à se plaindre certains, mais elle finit par payer, à la longue. On gagne en autonomie, en maîtrise techniques et en idées de projets à mettre en place. Certaines personnes ont un talent pour tout ce qui touche au manuel, ont des doigts en or ; d’autres doivent apprendre laborieusement des gestes n’ayant rien d’évident pour leur dextérité ; en tous les cas, à l’aide du matériel dont ils s’équipent, ils viennent à bout de ce qui les occupe.
Ainsi, "Quel outil acheter en premier ?" est la seule question valant la peine d’être posée. Elle déterminera la suite des événements. Un jeu de tournevis et de clés - plates ou à molette - est, bien entendu indispensable. Les petites fournitures, vis, clous, écrous et boulons s’accumuleront, aussi n’y a-t-il pas à s’en faire. Pourtant, ces outils simples et si essentiels pour les réparations en tout genre occultent ceux permettant de faire le gros œuvre.
S’attaquer à un mur requiert davantage qu’un marteau et des clous, la faute à sa dureté intrinsèque. Pour y creuser un trou, il faudra opter pour un perforateur ou une perceuse, avec le lot de mèches qui s’y rattache. La catégorie d’outillage change alors du tout au tout, car on parle là d’outils électroportatifs. Plus puissants et plus "rentre-dedans", ils permettent de s’atteler à des projets d’envergure.
Pour s’assurer de la longévité de l’outil, le mieux est d’adopter une des marques leaders du secteur, reconnue de partout pour sa fiabilité et ses performances : Makita. Ses produits répondent aux attentes des professionnels les plus endurcis et satisfont les plus critiques d’entre eux. Acheter une perceuse Makita est, à leurs yeux, le gage d’un profond sérieux dans la conduite du chantier en cours.
En plus de sa capacité à intervenir sur la majorité des différents types de murs, la perceuse Makita se manie sans fil, afin de limiter l’encombrement. La manier est d’une simplicité enfantine ; visser, dévisser, percer s’accomplit en deux temps-trois mouvements. La poignée ergonomique contribue au confort de la prise en main, ce qui aide à la tenir plus longtemps. Enfin, selon le modèle sélectionné, des LED intégrées permettent d’éclairer le point d’impact pour gagner encore plus de précision. La perceuse Makita est, pour ainsi dire, le sniper du perceur.
Et vous, quel est le premier outil que vous désiriez acquérir ?