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Participez à l'amorçage d'une entreprise en devenant business angel

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L'activité de business angel devient de plus en plus courante parmi ceux qui souhaitent placer leur argent dans un investissement pme. Le concept est extrêmement simple et intéressant. Des personnes compétentes souhaitent créer des sociétés innovantes, mais ne disposent pas de la mise de fond nécessaire pour démarrer. D'autres ont des liquidités fortement taxées, qu'ils voudraient placer intelligemment en économisant sur leurs impôts. La fusion des deux répond à leurs besoins respectifs, et bénéficie à la communauté en stimulant le tissu économique. Mais la démarche n'est pas anonyme, du moins si on le souhaite. Avant d'investir, il est courant de rencontrer la ou les personnes qui portent le projet. Si l'ensemble semble fiable, il est d'usage de les soutenir financièrement, mais aussi personnellement en leur donnant du temps, des conseils et en partageant son carnet d'adresses. C'est ainsi que l'on devient réellement un business angel.

Investir startup n'est pas nouveau. L'idée est apparue aux Etats Unis il y a près d'un siècle déjà avec le principe du crowdfunding. En effet, il existe un écart très important entre la somme que peut réunir un entrepreneur à partir de ses fonds propres et les emprunts qu'il peut faire à la banque, à sa famille et à ses amis ; et celle qui est nécessaire pour être coté en bourse. En réunissant des porteurs de capitaux, il est possible de soutenir les initiatives dont les besoins se situent dans cette importante plage. Pour maximiser les chances de succès de l'entreprise financée, il est utile de s'investir personnellement, de partager son expérience dans ses domaines de compétence. Cette pratique est très courante dans les réseaux issus des grandes écoles, et ceux soutenant certains idéaux : condition féminine, écologie, social ou humanitaire. Des initiatives locales où à qui visent les pays en voie de développement voient également le jour.

Le financement participatif n'est pas de la charité ou du mécénat. Même si la prise de risque n'est pas négligeable, on peut en attendre des retours par le biais des dividendes, et des plus-values lors de la revente des parts. Une des motivations importantes dans ce type de démarche, est relative aux crédits d'impôts qu'elle peut pourvoir. Le code prévoit une déduction de 18 % des sommes investies jusqu'à un plafond de 50 000 euros, correspondant donc à un gain immédiat de 9000 euros économisés, sur l'impôt sur le revenu. La loi TEPA, quant à elle, est encore plus intéressante, avec 50 % des investissements récupérables sur l'ISF 2013. Le plafond est de 90 000 euros correspondant à 45 000 euros de crédits. En d'autre mots, on peut récupérer grâce à ce système jusqu'à la moitié de sa mise l'année même. L'évasion fiscale en toute légalité, est même fortement encouragée par le gouvernement toujours friand de créations d'activités et d'emplois. Un système gagnant-gagnant qui bénéficie à la fois à l'investisseur, aux créateurs d'entreprise et à la société.

Etre un business angel nécessite malgré tout d'avoir les pieds sur terre. Il faut avoir le nez fin pour découvrir la bonne startup, et faire valoir ses compétences et ses talents humains pour l'accompagner sur le chemin de la réussite. Peut-être serez-vous l'heureux promoteur de la nouvelle société qui comme Microsoft, Google ou Twitter, démarrera grâce au financement participatif.

Les PME créent des emplois et booste la croissance. Dans cette période de crise, les petites entreprises sont plus souples, et peuvent plus facilement s’adapter à la demande que les dinosaures industriels. Anaxago est spécialisé dans le conseil sur l’investissement pme. Pour participer à l’émergence des startup innovantes de demain, cliquez ici.