Les Néo-Zélandais devraient parler plus souvent de sexe avec leurs médecins et autres spécialistes de la santé sexuelle.
Le sexe ce tabou
Dr Warrick blanc, d’Auckland, a déclaré aux journalistes du Times Southland lors de la cinquième Conférence sur la dysfonction sexuelle multidisciplinaire, que nombreux étaient les hommes et les médecins qui avaient du mal à parler de sexe avec leurs proches.
Les patients plus âgés qui ont soufferts de maladies comme le cancer de la prostate en particulier, ont souvent rencontré des problèmes de dysfonctionnement sexuel, tandis que les jeunes hommes ont eu des problèmes d’éjaculation prématurée.
En Nouvelle-Zélande, la mentalité de « l'homme du sud » démontre combien les couples de longue date n'ont jamais discuté ouvertement de sexe et du manque de compréhension qui les a conduit à la rupture.
Les médecins ne sont pas surpris quand les hommes cherchent à se faire soigner un ou deux ans après l'apparition du trouble d''érection.
Le sexe n´est pas qu´un acte primitif
« Ces hommes adoptent une attitude très machiste en pensant qu'ils arriveront à régler ces problèmes eux même ». Ils ne se plaignent pas, et tombent donc facilement dans une grande détresse.
« Les gens pensent que le sexe est naturel et intuitif ... ils sont de ca fait très contrarié, car ils ont besoin d'éducation sexuelle.
Le Dr Michael Lowy, spécialiste en santé sexuelle à Sydney, a déclaré que de jeunes hommes avaient soulevé des questions d’éjaculation prématurée, l’anxiété de la performance et des difficultés relationnelles. "Ils veulent être parfaits mai nul n’est parfait lors de rapports sexuels.
"Nous avons besoin de les éduquer pour qu'ils aient des attentes plus réalistes et normal.
« Ces gars-là ont juste besoin d’une bonne éducation sexuelle »
Le Dr Stanley Althof de Floride, a déclaré que l’éjaculation retardée ou absente lors d'une activité sexuelle normale, était de plus en plus répandue, mais toujours aussi mal comprise.
Peu d’études sont disponibles et pas une seule théorie explique la raison pour laquelle certains hommes sont incapables d’atteindre l’orgasme.
Le Dr Stanley Althof a déclaré devant environ 200 délégués, sexologues, cliniciens d’Australie et de Nouvelle-Zélande que le dysfonctionnement était involontaire et qu'il pouvait causer une grande souffrance aux patients ainsi qu'à leurs partenaires.
