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LES DOSSIERS SECRETS DU VATICAN ( 4.5/10 ) par Christian

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[ critique ] LES DOSSIERS SECRETS DU VATICAN ( 4.5/10 ) par Christian

L’histoire du cinéma nous a habitué à une structure bien définie , celle d’être divisée en catégories,castes,lignées voir dynasties.En occurence ici la dynatie des "exorcismes" dont la genèse est sans équivoque l’exorciste de William Friedkin. Beaucoup de films sur ce thème ont été réalisés depuis avec plus ou moins de réussites toujours en gardant une connexion avec ses prédecesseurs. Ce qui m’amène à déblatérer sur le petit dernier, les dossiers secrets du Vatican. L’ennui avec l’analyse de cette énième bouture est qu’on ne sait comment l’aborder.Alors, pour être succint et clair à la fois, la manière "découpe" s’impose pour procéder à "l’autopsie" de ce long métrage.

1er acte , les acteurs : Daugrey Scott dans le rôle du paternel ne semble pas être interessé par ce qui ce passe. Parsemées de sursauts, ses répliques semblent récitées et son jeu totalement désarticulé. Insipide à souhait il participe activement à la lenteur du film. John Patrick Amedon, le petit ami,à quant à lui une prestation transparente donc rien à dire. Le corps sacerdocale composé de Michael Peña,Peter Andersson et Djimoun Hounsou, prêtres "geek" devant l’eternel, font tour à tour dans le "méta-comique".

" DEMON DE L’ENNUI, JE T’ORDONNE DE QUITTER CE FILM

Le scénario très usité voir usé aurait eu le mérite de surprendre s’il n’avait pas traçé une horizontale. Le début du film tient quelque peu en haleine et on je me surprend à être un tantiné captivé.Mais très rapidement il faut se rendre à l’évidence , on se dirige droit vers une version sans âme,opaque et sans grand intérêt.L’héroïne, Olivia Taylor Dudley, dépourvue de toute crédibilté ( mais nantie de pas mal de débilités ) finie par nous anesthésier complètement. Tout de même quelques scènes "jump scaries" nous permettent d’éviter l’engourdissement cérébral.

Les plus avertis d’entre vous constaterons quelques tentatives de plagiats dont l’arrivée du prêtre dans un accoutrement qui rappelle fortement celui de l’exorciste ( malheur à lui). Le cinéma du genre fatigue de manque d’originalité et ce film en est malheureusement la triste réalité.