La cybercriminalité désigne l’ensemble des infractions pénales qui sont commises par le biais des réseaux informatiques, notamment sur Internet. Il faut dire qu’elle connaît actuellement une très forte croissance.
Les malfaiteurs n’hésitent pas à utiliser les technologies modernes pour commettre diverses infractions. Aussi, nombreux sont ceux qui sont spécialisés en piratage de données et de systèmes informatiques visant notamment les entreprises. Beaucoup sont également experts en vol d’identité, et cela sans compter le nombre important d’accès non autorisé à des services financiers en ligne, la propagation de virus, le spamming, le pishing, ou encore la diffusion d’images d’abus pédosexuels, de méthodes pour se suicider, d’incitation à la haine raciale, etc. La vente par petites annonces ou aux enchères d’objets volés ou contrefaits est également désignée par le terme « cybercriminalité », tout comme l’encaissement d’un paiement sans livraison de la marchandise et autres escroqueries diverses. En France, la loi prévoit que la cybercriminalité soit punie d’une peine d’emprisonnement de 5 ans maximum et d’une amende de 375 000 euros maximum.
Il reste qu’il n’est pas toujours facile pour les autorités compétentes de rassembler les preuves, à cause de la technicité et la rapidité avec lesquelles les infractions sont commises. Il existe toutefois un certain nombre de mesures de protection permettant de prévenir au mieux ces infractions. Pour protéger ses données, une entreprise doit par exemple utiliser un système de sécurité réseau haut de gamme, comme la security box. Elle peut aussi faire appel à une société experte en matière de protection et de sécurité des systèmes d’information. Pour qu’elle soit efficace, la méthode utilisée doit être adaptée à tous les types d’intrusions informatiques, notamment le cheval de Troie, les vers et virus informatiques, les bombes logiques, le pourriel ou polluriel, les spywares, les techniques d’hameçonnage, etc.
