La conférence sur le climat de Doha s’est achevée samedi sur un petit accord alors qu’il devient de plus en plus pressant de changer ses habitudes.
C’est un petit texte qui a conclu la conférence sur le climat de Doha, au Qatar. En effet, alors que 192 pays étaient présents à la conférence, les dirigeants du monde entier ne se sont accordés que sur le prolongement de la deuxième phase du protocole de Kyoto. Une deuxième phase pourtant bien faible. En effet, seuls l’Europe, l’Australie et quelques autres pays la suivent encore. Et ces pays ne représentent que 15 % des émissions de gaz à effets de serre du monde. En effet, le Japon, la Russie et le Canada ont décidé de se retirer du processus alors que les Etats-Unis, les plus gros émetteurs de CO2 parmi les pays développés, n’y ont jamais adhéré.
Du coup, l’objectif de 2020, à savoir réduire les émissions de CO2 dans l’air à 44 milliards de tonnes, va être bien difficile à atteindre. En effet, actuellement, nous sommes déjà à 50 milliards de tonnes rejeté dans l’air.
Il revient donc aux particuliers de mettre la main à la pâte. En effet, si l’on veut offrir un avenir à nos enfants et à nos petits-enfants, c’est maintenant qu’il faut agir en nous tournant vers des énergies renouvelables telles que des panneaux photovoltaïques SunPower qui ne rejettent pas de CO2 dans la nature (ou alors sans commune mesure avec le pétrole ou le charbon) ou encore vers des systèmes qui permettent d’économiser de l’énergie comme, par exemple, une pompe à chaleur, un puits canadien ou encore une chaudière à pellets.
