Tout d’abord, il faut savoir que les métiers du bâtiment reviennent en force ces dernières années. Par le biais de l’artisanat, les jeunes ont pu découvrir des professions passionnantes dont la rémunération reste assez éloignée des clichés en la matière. Par exemple, le miroitier découpe du verre et s’occupe aussi des miroirs.
Voici le quotidien de son apostolat.
En quoi consiste le métier de miroitier ?
En premier lieu, le miroitier peut se rapprocher d’autres métiers de la même famille. Vitrailliste, céramiste et vitrier bien évidemment. Le miroitier travaille dans le bâtiment. Il s’agit de l’artisan qui s’occupe d’équiper les portes, les fenêtres dans les immeubles, les maisons individuelles, mais aussi les vitrines des boutiques et les vérandas de votre jardin.
Par ailleurs, il existe aussi le miroitier d’art. Il fabrique des miroirs pour un habillage mural ou pour orner du mobilier. En outre, on lui confie également la restauration de miroirs anciens, auxquels il redonnera une seconde jeunesse.
Parlons maintenant des cursus à suivre pour aborder le métier de miroitier.
CAP, Bac PRO et BTS
Premièrement, le CAP "menuisier aluminium-verre" ou les BAC PRO "aménagement et finition du bâtiment" et "menuiserie aluminium-verre" permettent d’occuper le poste de miroitier dans le milieu du bâtiment. Dans un esprit plus artistique et qui rejoint plutôt les métiers d’art, le CAP "arts et techniques du verre", option décorateur sur verre et le Bac pro "artisanat et métiers d’art", option verrerie scientifique et technique restent tout indiqués.
Revenons du côté du bâtiment avec le BTS "enveloppe des bâtiments : conception et réalisation" avant de parler de salaire. Le miroitier débutant pourra percevoir environ le SMIC au début de sa carrière. L’expérience aidant, il pourra accéder à des traitements plus élevés compris entre 2000 et 2400 €.
