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Les hommes politiques américains seraient-ils plus lucides ou plus indépendants que les nôtres ?

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Le sénateur John McCain a exprimé ouvertement sa certitude qu'il existe un lien entre le mercure ou d'autres composants contenus dans ce vaccin et ce qu'il a nommé « l'épidémie d'autisme ». Hillary Clinton a écrit qu'elle comptait « financer des recherches sur l'autisme et ses possibles causes environnementales comme les vaccins », et qu'elle a l'intention de comparer l'état de santé des enfants vaccinés et non vaccinés. Et le 21 avril 2008, Barack Obama a déclaré : « Nous assistons actuellement à une explosion de cas d'autisme. Certains pensent que cette augmentation a un rapport avec les vaccins. Pour l'instant la science n'a rien pu conclure, mais nous devons chercher puis trouver ».

Ainsi, en ce qui concerne ce grave problème, quel que soit le futur président, il rejoindra le démocrate Robert Kennedy, Jr., le républicain Joe Scarborough, Bernadine Healy, ancienne directrice du NIH (Institut National de la Santé) et de la croix rouge, ainsi que de nombreux chercheurs d'Harvard, de Johns Hopkins, leader mondial de la recherche médicale, des universités de Californie, de Washington et de nombreux pays étrangers qui, tous, dénoncent les dangers des vaccins.

D'autant que des douzaines de cas d‘autisme vont enfin comparaître devant les tribunaux. Ils font partie des 5000 familles d'autistes qui réclament des dommages et intérêts grâce au National Vaccine Injury Compensation Program. Une petite fille nommée Hannah Poling, autiste, a été dédommagée et reconnue officiellement victime d'une série de vaccins. C'est la première fois que les autorités fédérales reconnaissent le lien entre les symptômes de la maladie et les vaccins.

Que fera-t-on alors en France ? Osera-t-on persister à affirmer que l'autisme est essentiellement génétique et qu'en donnant toujours plus à la recherche, on trouvera la solution pour soigner cette maladie sans vouloir vraiment savoir ce qui la provoque ?

Nous sommes les garants de la santé de nos enfants, elle n'appartient pas à nos politiques, et il est grand temps d'abandonner des affirmations basées sur des mensonges, des statistiques tronquées ou erronées, et des publications manipulées. L'autisme est devenu un problème de santé publique majeur et les pouvoirs publics persistent à affirmer que son origine est génétique. Mais les facteurs génétiques ne varient pas suivant l'époque et ne peuvent expliquer l'incidence croissante qui est passée de 1 cas pour 10 000 à 1 cas pour 300 en 22 ans aux Etats-Unis et non plus que cette « épidémie » d'autisme se manifeste dans la plupart des pays du globe.

L'autisme classique se manifeste en général durant les deux premières années de la vie, mais il existe quand à présent l'autisme régressif qui sévit depuis le milieu des années 80. En l'occurrence, à la différence de l'autisme classique, l'enfant qui se développait normalement commence à régresser à partir de dix huit mois. Pour le docteur Yazbak, qui a 37 ans de pratique pédiatrique aux Etats-Unis et dirige le centre de recherche sur l'autisme de Falmouth, dans le Massachusetts : « l'autisme n'est certainement pas un désordre génétique. Nous avons derrière nous quinze années de sérieuses et onéreuses recherches génétiques des scientifiques les plus brillants et pourtant nous ne sommes pas près de trouver les causes génétiques de cette maladie. Ensuite les désordres génétiques n'augmentent jamais de manière aussi astronomique ».

Nous avons toujours eu tendance à copier les américains, même et surtout quand ils font des bêtises, essayons de les copier lorsqu'ils prennent de bonnes initiatives. Rabelais affirmait que l'ignorance est la mère de tous les maux. C'est à cause de l'ignorance que l'autisme s'est autant multiplié, il est grand temps d'arrêter le massacre et d'inverser la situation.

Réalités & Vaccinations - LNPLV

Autisme et vaccination, Responsable mais non coupable de Sylvie Simon aux éditions Guy Trédaniel




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