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Formation geste et posture : pourquoi est-elle indispensable ?

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En premier lieu, les arrêts de travail restent toujours fréquents pour les affections types lombalgie ou lumbago. Les campagnes de prévention pour les gestes à adopter au travail semblent difficilement endiguer le problème. Y aurait-il un manque de formation geste et posture ?

En attendant de découvrir où vous pourrez suivre votre prochaine formation geste et posture, étudions quelques chiffres éloquents sur le sujet.

2 salariés sur 3 concernés

Tout d’abord, voici quelques statistiques émanant d’une étude datant de novembre 2018 et téléchargeable sur le site ameli.fr.

Par exemple en 2005, les accidents du travail liés à une mauvaise posture représentaient 13% des arrêts de travail globaux. Ensuite, en 2017, ce pourcentage grimpe à 20%. Visiblement, la formation geste et posture a encore de beaux jours devant elle !

Par ailleurs, il faut souligner qu’une lombalgie sur 5 donne lieu à un arrêt de travail. Celui-ci s’étale en moyenne sur 2 mois. En outre, les arrêts de travail pour mal de dos totalisent 30% des arrêts toutes causes confondues. Plus inquiétant, 7% des personnes se plaignent encore du dos 12 semaines après l’épisode lombalgique. Enfin, le coût supporté par les entreprises et la Caisse Primaire d’Assurance Maladie représente un peu plus d’un milliard d’euros chaque année.

La formation geste et posture en détail

Premièrement, au vu de ces chiffres, il semble que la formation geste et posture devienne incontournable dans les années à venir. Ce type de formation mobilise environ le salarié pendant 1 journée ou deux. La formation geste et posture aide à identifier les positions à risque sur le poste de travail. En parallèle, les bons gestes à adopter sont étudiés et répétés pour une bonne assimilation.

En dernier lieu, un focus sur l’ergonomie et l’aménagement du poste de travail permet aussi d’éliminer les situations à risque.

Les chiffres montrent que la dérive française vers l’emploi précaire est très inquiétante. Quatre-vingt-sept pour cent des contrats qui sont signés sont de nature temporaire. Soixante-dix pour cent ont une durée inférieure à un mois. Ces relations de travail très courtes se sont développées à une vitesse vertigineuse. Les contrats de moins d’un mois ont été multipliés par 2,5 au cours des 20 dernières années. Et le plus scandaleux, c’est que le système a été perverti, puisque 85% des contrats de moins d’un mois sont destinés à des personnes qui, après avoir été au chômage, reviennent travailler dans la même entreprise. La précarité va si loin que 30% des contrats temporaires signés le sont pour une journée ou moins. "En France, on a réinventé les journaliers", a déploré Pénicaud devant la presse.

La pénalisation ou la gratification, selon un système de bonus malus, des entreprises en fonction des employés qu’elles envoient régulièrement au chômage s’appliquera aux entreprises comptant au moins 11 travailleurs. Sept secteurs aux activités très diverses sont inclus : l’agroalimentaire, le tabac et les boissons ; l’hôtellerie et la restauration ; l’approvisionnement en eau et la gestion des déchets ; le transport et le stockage ; la fabrication de caoutchouc et de certaines matières plastiques ; certaines tâches dans le domaine de la publicité ; et l’industrie du bois, du papier et de l’imprimerie. Ces secteurs comptent 2,4 millions de salariés dans 38 000 entreprises.

L’organisme de formation Reliance Santé à Toulouse propose ce type de formation.

Visitez le site reliance-sante.fr pour en savoir plus et obtenir des informations complémentaires.

Reliance Santé
Immeuble le Tertial
214 Route de St Simon
31100 Toulouse
Tel : 05 61 38 43 56
accueil@reliance-sante.fr