communique de presse gratuit

Accueil du site
>
Finance
> Critiques du Trading haute fréquence

Critiques du Trading haute fréquence

37077



Le trading haute fréquence a pris une place de plus en plus importante sur les places financières mondiales depuis ces 10 dernières années, progrès technologiques obligent. Ainsi on estime sa part à 30% des ordres passés sur les marchés à travers le monde. En revanche, ce taux est variable en fonction des pays, par exmples, aux USA ce taux est de 60% si on prend des données datant de 2009 ; En Europe on a observé un taux beaucoup plus dans la moyenne mondiale qui est de 35%. Au Japon et en Australie ce taux atteint les 20%. Ces taux, bien sûr, ne cessent de croitre d'années en années.

Ce mode opératoire commence à avoir de nombreux détracteurs, surtout au cours de ces dernières années qui a vu la crise financière de 2008 avoir un effet domino dévastateur pour l'économie mondiale. En effet on lui reproche d'amplifier les cycles que ce soit à la baisse où qu'il s'agisse de création de bulles financières. Le trading à haute fréquence reposant sur des algorithmes réagissant à des indicateurs graphiques essentiellement avec une absence totale d'intervention humaine. De ce fait, plusieurs programmes sont développés, chacun intégrant une stratégie de trading propre. Mais si c'est programme réagissent tous en même temps à des indicateurs de « sécurités » type les stop/loss par exemple, cela peut avoir un effet amplificateur sur la direction du marché, faussant de ce fait ce dernier.

L'idéal reste donc de maintenir un équilibre pour ce trading à haute fréquence, car il ne présente pas que des inconvénients. En effet, le trading à haute fréquence est aujourd'hui le vrai garant de l'efficience des marchés. Car bien sûr, l'œil humain n'est pas capable de voir toutes erreurs de marchés avec certitude alors qu'un programme informatique est capable de le faire à grande vitesse.

Pour en savoir plus sur le Forex et les différentes stratégies de trading à adopter, rendez-vous sur tribuforex.fr.