Que ce soit dans la vie de tous les jours ou au travail, dans une ville bilingue comme Montréal, et plus largement dans un pays qui a pour langues nationales l’anglais et le français, on est régulièrement amené à utiliser la langue de Shakespeare.
Qu’importe si on parle mal anglais quand on indique le chemin à un passant anglophone, après tout on fait parfois nous même des fautes de français alors que c’est notre langue maternelle. Mais lorsqu’on sert un client, qu’on démarche des entreprises, ou que l’on présente un produit, parler un anglais correct est fondamental. C’est une marque de respect autant qu’un moyen de s’attirer la bienveillance de la personne avec qui on échange.
Souvent, on possède un anglais fonctionnel. Mais lorsqu’il s’agit de vendre des technologies complexes, d’expliquer des stratégies ou des théories, c’est là que ça se complique. On manque souvent de mots. On peut bien apprendre le vocabulaire technique anglais, mais pour que ce soit fluide, il faut maitriser certaines formes grammaticales propres.
Idem lorsqu’on veut vendre en anglais. Il faut utiliser les formules qui font mouche, les tournures de phrase qui ont de l’impact. Sans parler de l’intonation.
C’est pourquoi faire appel à un centre spécialisé en anglais est important. Un centre qui met à disposition des entreprises des formateurs qui s’adaptent à la réalité des affaires de l’entreprise : ses produits, ses services, ses cibles, pour proposer des cours d’anglais et des ateliers d’anglais en adéquation avec les besoins précis des salariés. Ils travaillent ainsi votre présentation commerciale, en se mettant à la place du client anglophone, vous corrige, vous aiguille. Il vous apprend comment rédiger des courriels vendeurs en anglais, les tournures à employer. Bref, de quoi aborder la clientèle anglophone avec plus de confiance et pouvoir se concentrer sur l’essentiel : la vente, sans passer son temps à chercher le mot juste.
