Dès leur plus jeune âge, les fillettes jouent à la poupée. Souples et facilement malléables, les poupons correspondent à la plus tendre enfance. Cicciobello bobo possède toutes les caractéristiques d’un tel poupon mais d’autres qualités en font le jouet préféré des toutes jeunes demoiselles.
Cicciobello bobo, le bébé qui incite à la tendresse.
Bercer Cicciobello bobo lorsqu’il pleure vraiment, c’est un geste que les petites filles ne se lassent jamais de faire. La flexibilité de ses articulations, son corps moelleux incitent à la tendresse et aux câlins. Vêtu d’un joli pyjama bleu, il est de la taille parfaite pour les bras des fillettes. L’expression de son regard bleu, ses joues rebondies lui donnent les traits d’un adorable bébé dont on a hâte de s’occuper. De nombreuses heures de jeux et des manipulations, parfois brusques, ne viennent pas à bout d’une solidité à toute épreuve. Mais la qualité remarquable de Cicciobello bobo réside en ses fonctionnalités époustouflantes.
Les fonctions étonnantes de Cicciobello bobo.
Les pleurs de Cicciobello bobo sont un symptôme de maladie que le rougissement des joues confirme. Comme dans la réalité, la prise de température s’avère nécessaire. Le voyant rouge du thermomètre apparaît : il faut donner un remède à cicciobello bobo ! Les accessoires proposent quatre possibilités de soins : vitamines, lait ou sirop dans un biberon ou piqûre. Il s’agit d’essayer chacun d’eux et d’en constater les effets. Cicciobello bobo s’apaise, les joues reviennent à leur couleur naturelle, la température a baissé et le nourrisson s’endort calmement, sa tétine dans la bouche. Le premier remède n’est cependant pas toujours le bon ! Il faut tenter autre chose jusqu’à la guérison. Les réactions de cicciobello bobo suscitent celles de la "maman" qui s’alarme, cherche le remède efficace et se rassure... comme dans la vraie vie !
Ces possibilités de jeux, qui reproduisent avec précision le monde adulte, sont une source infinie d’apprentissages que permet la conception remarquable de cicciobello bobo.
