Pour comprendre ce qui se passe réellement sur le terrain, une vision impressionniste du marché est requise. Le problème est que le téléphone ne sonne plus lorsque les propriétaires sont trop gourmands et cela affecte non seulement les résidences secondaires, mais aussi les résidences principales. Patrice Besse venant d'une agence spécialisée dans les biens de caractère assure en disant « quand les biens sont au prix, les demandes sont plus nombreuses ». Par exemple, près du parc Monceau à Paris, un appartement de 200 mètres carrés au troisième étage s'est vendu à 2 millions d'euros, soit à peu près 9136 € le mètre carré. On voit ainsi que le repère de prix a changé, une villa de 390 m² avec un jardin avec travaux de 300 m² s'est aussi vendue à 3millions d'euros dans le centre de Neuilly alors que sur le marché elle était à 4,5 millions d'euros un an et demi plus tôt. Les propriétés de prestigesont donc assez nombreuses dans le pays, reste à les débusquer.